[T'as vu, il est bien mon titre *ton ironique*?]
[Edit:J'ai changé le titre ]

Il m'avait fallut un bon quart d'heure pour redescendre les quarante-neuf étages qui me séparaient de la rue...enfin, ce qui l'en restait. Et pour ne pas me faciliter la tâche, il m'avait fallut prendre maintes précautions pour que l'endormie, toujours accrochée dos, arrive en même temps que moi en un seul morceau. J'avais préféré à ne pas me risquer à déployer mon aile – la descente aurait été bien plus simple et effectuée en une dizaine de seconde – histoire de ne pas effrayer l'ancien spécimen qui m'avait élue, malgré moi, compagne de voyage.
Arriver en bas du bâtiment fut donc un véritable parcoure du combattant qui se révéla plus compliqué qu'à l'allée ; des gravas et des pans de murs encombraient les marches, des parties entières d'escalier avaient disparues – m'obligeant à dé-escalader certains passages -, des barres de fer entravaient ma route, des fils électriques laissaient jaillir des gerbes d'étincelles à l'improviste. Je me gardai bien de prendre des risques, ne connaissant pas encore la résistance physique de mon alliée ; si elle avait passé l'intégralité de sa courte vie dans un laboratoire, elle devait être moins fragile que le commun des humains mais...à quel point ?
Je soupirai de satisfaction quand, enfin, je touchai le carrelage de l'entré. Pourquoi avaient-ils eut besoin de faire construire une tour aussi haute, je vous le demande ! Je n'étais même pas sûre de savoir ce qui se trouvait à chaque étage, c'est pour vous dire si je commençais à m'interroger sur l'utilité de chacun des niveaux. Mais pourquoi est-ce que je me posai cette question ?

-Les marionnettes et les monstres ne se posent pas de questions. Soupirai-je.

Je fis légèrement sauter Kyû pour la réajuster sur mon dos et, me contorsionnant, je parvins à lui rabattre la capuche de mon trench-coat – dans lequel elle était toujours enveloppée – sur la tête. On a beau vivre dans une ville pleine de bizarreries, je doute qu'une petite fille avec des oreilles de chats passe inaperçue aux yeux des habitants de Mid-...
Je soupirai à nouveau. Midgar n'existait plus. Enfin, plus comme je l'avais connu. J'avais traversé Edge en arrivant ici et je devais donc y retourner. Mais tous ces gens, partout...Tous ces humains, ces gens normaux, vêtu de vêtements aux teintes grisâtres qui tournent et virent avec un air gris. Ils me faisaient penser à mes camarades de la Shinra quand nous étions au Wutaï ; cet air épuisé, las, ancré sur leurs visages. Je secouai la tête avec de prendre le chemin de la sortie, tournant la tête en passant devant le comptoir des secrétaires. Ah, ces secrétaires...l'une d'elle passait son temps à draguer tout les hauts-gradés qui passaient. Ma déesse, ma déesse...Comme tout cela est loin.
Le vent glacial du dehors faillit me surprendre. Il devait être dix-sept heures, vu la position du soleil. A quelle heure étais-je entrée là dedans ? Peu importe. Personne de m'attendait de toutes façons.
Tous en parcourant la rue, je me surpris à réfléchir à mes dernières pensées, prenant conscience de ce que représentait le fait que Kyû allait sûrement me suivre désormais. Elle ne savait sûrement pas se battre et ignorait probablement tout du monde. Son seul point de repère était cet espèce de coussin orné des caractéristiques d'un animal que je ne connaissais pas. Quel point de repère me diriez vous ! En avais-je seulement plus qu'elle ? Ma plaque militaire, toujours accrochée autour de mon cou, constituait la seule réminiscence du passé que je n'avais pas jetée au loin.
Qu'allais-je faire de cette enfant ? La garder ? Je ne pouvais pas l'envoyer voir ailleurs. Je ne pouvais pas la confier quelqu'un. Le message que j'avais entendu à la radio, dans la tour, me revint en mémoire. C'était quoi déjà, le nom ? Hôte ? Howl ? Hope ? Oui, un truc dans le genre. Peu être que ces gens sauraient à qui je pourrai confier...Non, c'était impossible. Entre ses oreilles et son tatouage, elle ne pouvait pas passer pour quelqu'un de normal. Dans quoi je m'étais encore fourrée ? Ex-Soldier de Seconde Classe Blanche Sorujiya, vous êtes une andouille !
L'ambiance monotone de Edge m’accueillit avec son odeur de poussière et d'essence. Aussi accueillant que le général Sephiroth cette ville et je sais de quoi je parle. En passant devant une ruelle, je ne pus m'empêcher de jeter un œil. C'était un spectacle désolant ; des hommes, des femmes, même des enfants, atteins par le larges tâches noires qui semblaient les faire souffrir, étaient assis à même le sol. Leur peau si pâle, les yeux vides, leurs maigreur...on aurait dit les rescapés Wutaïen après la guerre...Cette même odeur de maladie et de désespoir. Prenez moi pour une folle, mais le désespoir a une odeur.
Je bifurquai à l'angle d'un rue et avisai un magasin de vêtement. L'argent que j'avais récolté sur les dizaines – centaines?- de monstres abattus durant ces années de solitude allait peut être enfin m'être utile...en espérant que la monnaie n'avait pas changée.

- Irasshaimase...Lâcha platement la vendeuse en nous jetant à peine un regard avant de retourner à sa lecture. Elle fronça les sourcils et releva les yeux.

Quoi ? T'as un problème avec les yeux makos ? Ok, c'est vrai qu'on doit avoir l'air d'un duo assez étrange...Je me dirigeai vers le fond du magasin qui était assez grand pour dire. Je secouai Kyû pour la réveiller avant de la poser par terre.

-Allez, trouve toi ce qui te plaît. Lâchai-je maladroitement.

[Edit: Hey! Pour une fois, la mise en page n'a pas bugué!]

[Fait gaffe, t'as marqué « Soldé » à la place de « Soldat » ! On n'est pas dans Banal Fantasy xD!]

Kunsel avait pris la décision de se balader un peu dans Edge. Il avait gardé son uniforme et s'attirait ainsi les regards des passants. Soudain, une silhouette aux cheveux blancs attira son attention alors qu'elle pénétrait dans un bâtiment.
Le Soldat entra dans le magasin de vêtements, ignorant le regard de la vendeuse. Il balaya la boutique du regard et arrêta ses yeux sur le fond du magasin où se tenait une de ses vielles connaissances qui faisait face à une petit silhouette encapuchonnée qui tenait une espèce de coussin dans les mains. Le Soldat fut frappé par la minceur de son ancien ami, dévoilée par l'absence de veste ; il l'avait connu plus musclé, plus imposant malgré sa petite taille.
Jiyu – enfin, Blanche – ne portait plus son ''uniforme'' de réplique comme la dernière fois qu'il l'avait vu aux grottes de Banora. Tous ses vêtements étaient noirs ; son pantalon et ses gants étaient en cuir, son débardeur semblait légèrement trop grand et Kunsel supposa que le trench-coat dans lequel nageait littéralement la silhouette appartenait à son ancien camarade.
La silhouette en question remit soudainement son coussin à Blanche avant de partir en exploration dans les rayons.

''C'est le moment'' pensa Kunsel.

Il rejoignit l'ex-soldat à côté des cabine et se tint la maladroitement.

-Salut...Lâcha-t-il. Je t'ai vu rentrer ici et je me demandais...enfin, tu sais, depuis la dernière fois...

Bon, il se sentait franchement ridicule à tourner autour du pot comme ça. Kunsel s’adossa à l'une des cabines et reprit.

- Je m'inquiétais pour toi, Jiyu. Il insista sur le prénom. Tu avais l'air franchement bizarre, il y a quelque mois. Même si tu es devenu bizarre le jour où ta sœur est morte mais à Banora, c'était dix fois pire.Il soupira. Tu as fait le chemin seul je suppose ?

Il ne savait même pas pourquoi il lui disait cela. Toute ses pensés s’embrouillaient, il ne savait plus ce qu'il voulait dire...ce qu'il fallait dire. Quelque chose ne tournait vraiment plus rond dans ce monde. Il fit un mouvement de la tête vers Kyû.

-Où l'as tu trouvé ? Est ce qu'elle est aussi issu d'une expérience pour que tu l'accepte alors que tu me rejette ? Est-ce que c'est parce que je fais toujours partie de la Shin-Ra ? Il désigna son uniforme. Tu vas haïr la Shin-Ra toute entière parce que deux scientifiques ont un peu trop abusé de la Mako au point de s'en griller les neurones ? Il secoua la tête. A moins que tu ne haïsses le monde entier. Comme Sephiroth non ? Tu vas aussi nous invoquer un météore ?

Il regretta immédiatement ses paroles. Qu'est ce qu'il racontait ? Au fond, n'était-ce pas lui, Kunsel, qui en avait après la Shin-Ra pour avoir causé a mort de son meilleur ami ? Et d'autres de ses camarades ? Est-ce qu'il n'avait tout simplement pas peur de perdre Jiyu – enfin Blanche – à son tour ?
Il posa son regard sur le miroir qui se trouvait derrière son ami. C'est là que ses yeux s'agrandirent ; il en était lui aussi atteint ? Cette tâche noire qui s’étendait au niveau de son omoplate ne laissait pas de doute.

- Tu es atteins...des géostigmates ?

Tandis que Kyû, après un instant d'hésitation et m'avoir refourgué son...cousin, disparaissait dans les rayons, je me replongeai dans l'océan – ou plutôt l'ouragan – de pensées qui ne cessait de s'agiter dans mon esprit. Je n'étais toujours par sûre de savoir quoi faire de Kyû. Même si je ne me permettrai jamais de l'admettre, je n'avais pas le cœur à l'abandonner seule à elle même, et ce malgré moi. Elle ne pouvait faire face seule à ce monde instable qui s'écroulait peu à peu sans que personne ne semble s'en formaliser. La vision d'horreur à laquelle j'avais eut droit en passant devant la ruelle me laissait perplexe ; certains habitants semblaient atteint d'une forme de dégénérescence... Pourtant, il était impossible qu'ils aient tous été des cobayes, leurs yeux ne portaient même pas a lueur de la mako. Une autre sous-branche du projet Jenova ? Non, ça revenait à ce que je venais de me dire...
La message radio que j'avais écouté à l'étage du Soldier, juste après ma rencontre avec Kyû, parlait de Géostigmates. J'avais eus droit à des cours de science en accéléré avec – cet imbécile incompétent qui ne sait ni se battre, ni courir [cf : le passage de poursuite à Junon, j'ai tellement ris en le voyant courir xD] – Hollander et j'étais sûre et certaine de ne jamais avoir entendu parler de cela. De plus, la dégénérescence ne propageait pas de tâche noires comme j'en avait vu dans la ruelle. Je dû me rendre à l'évidence ; les géostigmates et la dégénérescence étaient deux choses différentes. Ce qui signifiait qu'il se passait encore des choses que je ne pouvais ni comprendre, ni contrôler. Quel enfer!
Oh Minerva. Dites moi ; vous vous ennuyez tant que ça pour jouer avec moi ? Nan parce que je doute que ce soit le hasard qui fasse que Kunsel rentre dans le même magasin que moi, cherche quelque chose du regard et me trouve et-s'approche-de-moi–qu'est-ce-qu'il-veut?-.

-Salut...Lâcha-t-il. Je t'ai vu rentrer ici et je me demandais...enfin, tu sais, depuis la dernière fois...

Et ben moi, je m'inquiétais pas pour toi donc tu m'as vu, je suis vivante, c'est génial, c'est bon, barre toi!

- Je m'inquiétais pour toi, Jiyu. Il insista sur le prénom. Tu avais l'air franchement bizarre, il y a quelque mois. Même si tu es devenu bizarre le jour où ta sœur est morte mais à Banora, c'était dix fois pire. Il soupira. Tu as fait le chemin seul je suppose ?

Non, j'ai croisé des Rajinchos, des Arimans, des Canidés Sauvages, quelques chocobos, des...bon, en s'en fiche.

-Où l'as tu trouvé ?
-Pourquoi, ça t'intéresse ? Répondis-je froidement.
- Est ce qu'elle est aussi issu d'une expérience pour que tu l'accepte alors que tu me rejette ?
- Quoi, tu veux la ramener à la Shinra ? Repris-je.
- Est-ce que c'est parce que je fais toujours partie de la Shin-Ra ? Il désigna son uniforme. Tu vas haïr la Shin-Ra toute entière parce que deux scientifiques ont un peu trop abusé de la Mako au point de s'en griller les neurones ? Il secoua la tête. A moins que tu ne haïsses le monde entier.
- Ils n'ont pas fait qu'abuser de la mako et pas que sur eux. Crachais-je avec véhémence. J'ai mes raisons de haïr certaines personnes.
-Comme Sephiroth non ? Tu vas aussi nous invoquer un météore ?

Alors ça, c'était le mot de trop. Je serrai dents dans l'espoir de me contrôler. Prenant une profonde inspiration, je répondis d'un ton claquant, mais baissant la voix pour ne pas attirer la vendeuse.

- Ne. Me. Compare. Pas. A lui.

Aïe, Genesis a déteint sur moi on dirait. Merci Hollander ! Si tu n'étais pas mort, je te revaudrais ça ! J'ai que ça à faire de ressembler mentalement au commandant ! Son regard se porta sur le miroir derrière nous.

- Tu es atteins...des géostigmates ?

Je tournais brusquement la tête pour scruter mon reflet dans le miroir. Juste à l'endroit où une douleur m'avait frappée ces derniers temps, tout près de la fine bande de plumes courtes et duveteuse d'où jaillissait mon aile lorsque je la déployait, une zone, certes réduite mais présente, de ma peau avait noircie. Ce n'était pas encore très voyant mais je ne pouvais ignorer le fait que c'était là. Je clignai des yeux, comme pour me persuader que c'était bel et bien vrai. La tache était là. Je portai ma main sur mon épaule, comme la première fois que j'avais rentré mon aile et touché cette douce trace de son existence, pour faire glisser mon gant de cuir sur la peau atteinte.
Je refusai de montrer ma surprise – ok, peut être mon inquiétude – à Kunsel. Kyû arriva au bond moment. Je lui pris des mains ce qu'elle portait, la poussai dans une cabine et tirai le rideau, lui refilai son coussin et récupérai ma veste que je m'empressai d'enfiler sans un mot afin de cacher la maladie.
Je filai à la caisse sans plus de cérémonie, prenant un bonnet blanc et violet au passage. La vendeuse me regardait avec soupçon et je fus prête à jurer qu'elle s’apprêtait à hurler au secoure. Elle me paru lente, si lente. Je la payai et repris les vêtements sans un mot. Je manquai de les jeter dans la cabine où se trouvait la petite fille. Une fois qu'elle eut commencé à s’habiller, je me tournai vers Kunsel.

- Je crois juste que je me dégénère. Qu'est ce que ça peut te faire ? Je ne sais pas de quelle expérience est issue Kyû. Qu'est ce que ça peut te faire ? Qu'est ce que ça peut vous faire à tous ? Personne ne s'est jamais inquiété de ceux qui souffraient dans les laboratoires. Personne ne se soucient de ceux qui sont en train de mourir des géostigmates.

J'étais cruelle, j'étais injuste. Après m'être assurée que Kyû était habillée, je la pris dans mes bras, contre mon torse.

- Ne me suis pas...et ne me traque pas.

Je sortie en trombe du magasin. Je crois que j'avais seulement peur. Non, les marionnettes n'ont pas peur. Je voulais partir de cette ville. Partir de ces amas de fer, de ruine, de poussière et de souvenir. Loin de Midgard, loin de Edge, loin de la Shinra. J'avais prévu de me renseigner sur HOPE, mais cela attendrait. J'avais besoin de temps, je me sentais désemparée, face à une nouvelle menace que je ne pouvais contrôler et sans personne pour me dire ce que je devais faire. Je voulais juste partir.

Kunsel fut surpris par le brusque changement de comportement de son ancien camarade. Il prit alors conscience qu'il l'avait sûrement blessé, et ce bien plus que Blanche n’accepterait jamais de l'admettre. Après réflexions, il fallait admettre que dans les circonstances actuelles, être comparé ainsi au général argenté relevait presque de l'insulte. Cependant, le Soldat n'eut pas le temps de retirer ses paroles que Blanche s'éloignait vers la caisse, lui donnant presque l'impression de fuir. Kunsel se racla la gorge et se pencha vers le rideau pour s'adresser à Kyû.

- Hum...Kyû, c'est ça ? Commença-t-il. J'ai conscience que la Shin-Ra a fait des erreurs...des erreurs impardonnables et je ne m'attends pas à ce que Blanche ou même toi ne l’oublie. Il inspira profondément. Accorde moi juste une faveur ; prends soin de Blanche. Il tourna ses yeux vers le dénommé. Il en a besoin. Ne fais pas toujours attention à ce qu'il dit...ou ce qu'il fait. Il a mal, tu sais. Il a été seul trop longtemps. Ajouta-t-il d'un voix monocorde.

Puis il s'éloigna du rideau. Blanche arriva à ce moment là.

- Je crois juste que je me dégénère. Qu'est ce que ça peut te faire ? Je ne sais pas de quelle expérience est issue Kyû. Qu'est ce que ça peut te faire ? Qu'est ce que ça peut vous faire à tous ? Personne ne s'est jamais inquiété de ceux qui souffraient dans les laboratoires. Personne ne se soucient de ceux qui sont en train de mourir des géostigmates.

Ces mots, remplis de la plus atroce des vérités, le transpercèrent. Puis son ancien camarade porta le coup de grâce.

- Ne me suis pas...et ne me traque pas.

Regardant Blanche partir, non, s'enfuir, il soupira de nouveau. Il ne savait pas vraiment quoi dire ou faire. Il avait conscience des horreurs passées de la Shin-Ra...mais il ne pouvait se résoudre à abandonner la compagnie. Elle représentait presque toute sa vie et tous ses souvenirs. La Shin-Ra tentait de se reconstruire mais ne se maintenait que grâce à un fragile équilibre qui menaçait de se rompre à tout moment, au moindre coup de vent.
Cependant, le Soldat voulait croire à cette...structure bancale. La compagnie ne serait jamais plus la même qu'avant mais elle avait surtout appris de ses erreurs. Il n'y aurait plus de projets scientifiques consistant à modifier génétiquement des êtres humains innocents.
Mais les précédentes victimes – directes (Sephiroth, Angeal, Genesis) ou indirectes (les habitants de Nibelheim ou de Banora) – du moins, celles qui pouvaient encore parler, pourraient elles seulement pardonner ce qu'on leur avait fait ? Était-ce seulement pardonnable ?
Kunsel prit alors conscience qu'il n'y avait sûrement plus d'espoir pour le lien qui avait jadis uni Jiyu et Kunsel. Au fond, sans doute s'était il brisé le jour où son ami était parti au Wutaï avec Genesis...et que la crise les avaient frappés de plein fouet, les entraînant dans ses engrenages empoisonnés et mortels.